Présentation :
Très à droite (très très très à droite …) se trouve donc l’équipe de Marie-jo Zimmermann.
Sortie d’une amnésie de près de 20 ans durant laquelle elle s’est présentée à plusieurs élections à Metz, elle se souvient enfin qu’elle réside sur le canton du pays messin.
Pour sûr, les électeurs vont apprécier être considérés comme un lot de consolation quand on a tout perdu.
Son programme : je m’appuie sur le passé pour préparer la relève. Et je veux défendre le canton. Si elle pense pouvoir défendre mieux le canton qu’elle n’a défendue la ville de Metz, dont elle était élue, face au gouvernement d’une majorité à laquelle elle appartenait et qui a dépecé Metz de ses garnisons. Bel exemple de défense des intérêts de ses électeurs !
A droite toujours, les sécessionnistes avec l’attelage Gillard-Chloup.
La première est sortante. Son mandat, c’est 5 ans 1/2 dans l’ombre et les 6 derniers mois dans la pénombre. Le second est un surhomme, multipliant casquettes et mandats comme dans l’ancien temps, oubliant au passage la promesse faite à son bureau communautaire il y a moins d’un an lors de son élection en tant que président de la CCHCPP de ne pas briguer d’autres mandats. Et quand il lui reste un peu de temps, il s’improvise même rédacteur en chef !
Leur programme : faire comme avant… et surtout faire oublier leur proximité avec le sénateur qui les a fait élire mais qui n’est plus fréquentable désormais. Pas même la reconnaissance du ventre...
Petite cocasserie supplémentaire dans ce vaudeville : l’ombre du voisin métropolitain rode, l’ennemi juré de toujours du sénateur soutenant ce dernier binôme.
Franchement, les électeurs du pays messin ne méritent-ils pas mieux pour leur avenir que ces pratiques d’un autre temps ?
La suite au prochain épisode...

Requiem pour un front républicain

Au quotidien pour le Pays Messin
